Libra. ¿Hacia dónde va China? Telle a été l’interrogazione d’Yves Chevrier, director de estudios émérite à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, dans El imperio de la tierra. Histoire du politique en Chine aux XXᵉ et XXIᵉ siècles II, seconde partie d’une série revenant sur l’histoire politique du pays. La pregunta se abrió nuevamente durante la última década, à l’arrivée à sa tête de Xi Jinping. Y así, a pesar de los cuatro príncipes cardinales planteados por el director Deng Xiaoping, desde los debuts de su política de reformas económicas a finales de los años 1970, fijó aquí una ligne policy como condición sine qua non, intégrée depuis à la Constitution: mantener du socialismo, tipo dictadura «democracia popular», de la direction du Parti communiste chinois (PCC) et des idées marxistes-léninistes et maoïstes. Le projet politique ne pouvait être plus clair.
Mais le pays a connu, depuis, une radical transform, avec l’avènement de la société de consumer et le desserrement, bien réel, du contrôle social du régime sur la vie des Chinois depuis la mort de Mao Zedong, en 1976. A vent de liberté individuelle soufflait avec la possibilité de voir son niveau de vie progresser et, pour de plus en plus de citoyens, de choisir sa vie – quel université, quel careere, quel marque de vêtements, quel voiture, même, pour Certains. Solo hay una imagen de apertura que podría ser el autor de los Juegos Olímpicos de Beijing 2008 y la Exposición Universal de Shanghái 2010.
De l’autre côté du monde, on avait commencé bien plus tôt à se bercer d’espoirs, voire d’illusions : dès 1957, le secrétaire d’Etat américain, John Foster Dulles, érigeait comme objectif politique la théorie posée par le diplomate George Kennan d’une «evolución pacífica» aquí permite una transformación política en el campo comunista, y notamment chinois, por la infiltración de ideas y modos de la vía libre. Pas si lomo du « soumettre sans combattre » déjà posé par le stratège Sun Tzu six siècles avant notreère. Autant dire que les leader chinois ne s’en sont pas laissés conter, preservant génération après génération, de Mao à Xi, en passant par Deng Xiaoping, Jiang Zemin et Hu Jintao, cette viscérale méfiance envers ce qu’ils ont tous vu comme l ‘objectif américain à peine dissimulé, la fin du règne du parti unique.
Fortalecer la ideología roja
Au fil des décennies, la ligne pour tenir ce pouvoir n’a cessé d’évoluer. Davantage d’ouverture, mais pour aller vers quoi? Ventaja de cierre, y volver con respecto a quoi? Voila le balancier de la vie politique chinoise. Les dix années qui viennent de s’écouler, el acceso de Xi Jinping al cargo de secretario general del PCCh, en noviembre de 2012, el 20Y congreso, qui l’a vu, à l’automne 2022, prolongé pour un troisième mandat au moins et désormais entouré d’un comité central d’hommes absolument inféodés, auront sans conteste été cellas de la reprise en main. Il n’est pas un pan de la société qui n’ait été terrassé et remis dans le rang politique: l’armée, les médias, les campuses, les avocats, les milieux d’affaires…
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