En Budapest, le pouvoir hongrois rêve de gentrifier le tourisme

Tous les vendredis soir, c’est un peu le même cirque au Szimpla Kert, le plus célèbre des arruinar los bares de Budapest, ces établissements « en ruina » ocupante des lieux délabrés qui font l’esprit festif de la capital hongroise. Des groups de jeunes hommes et de jeunes femmes venus de toute l’Europe pour entra leur vie de garçon ou de jeune fille s’alcoolisent allégrement anterior même les dernières heures du jour in ce lieu au decor fantasque fait d’objets récupérés.

« C’est ma première fois à Budapest », dice Yann Duranseaud, Niçois de 27 ans, en s’apprêtant à comandante, ce soir de juin, son premier verre du week-end. You land ya moins d’une heure con ses copains, il s’apprête à vivre un long, très long, séjour… Ses amis ont notamment réservé « una hora de striptease XXL » (entendre avec une femme corpulente) et « une heure où il va être added à un nain dans un bar ». « Il n’y a pas de droits de l’homme ici »plaisante un de ses compañeros.

Le groupe a hésité between Barcelone et Budapest, avant de trancher pour la capital hongroise, en raison notamment de ses prix compétitifs. « Sobre encontrar un Airbnb por solo 800 euros para gente nueva », se jacta el organizador. Comme un peu partout à Erzsebetvaros, cet ancien quartier juif qui concentrare les fêtards, l’immeuble where the groupe réside a été en grande partie transformé in appartements Touristiques: même ofrece un servicio de conserjería para recibir a los viajeros.

« Ce n’est plus Budapest ici, c’est l’Europe »

Ce service est la dernière tendence pour remplacer les guirlandes de boîtes à clés accrochées aux portes d’entrée dans quelques rues qui occupent à peine 0,5 kilomètre carré en plein centre de la capital hongroise.

« Dans mon immeuble, i propriétaires qui louent sur Airbnb sont largement majoritaires et ils ont voto en asamblea de copropriété pour embaucher un gardien spécialement pour doner les clefs »confirme ainsi Abel Zsendovits, le patron de Szimpla Kert, 49 ans, qui reçoit au milieu des effluves de bière de la veille.

Abel Zsendovits, propietario y fundador de Szimpla Kert, en Budapest el 9 de junio de 2023.
Le Szimpla Kert, en Budapest, el 9 de junio de 2023.

Co-fundador, au début des années 2000, de ce lieu mythique, il reconnaît lui-même les désagréments générés par le succès international de son modele, con solo 200 000 fêtards reportados en Budapest ciertos fines de semana. « También tengo un Airbnb au-dessus da chez moi et je dois parfois monter dire aux groupes d’aller plutôt faire la fête au Szimpla »raconte-t-il, en déplorant que son quartier « se vide de ses habitants ». Vierta autante, « que peut-on faire ? »maravillas-t-il. « Ce n’est plus Budapest ici, c’est l’Europe »répond-il à ceux qui critiquent ses prix, devenus inaccessibles à la plupart des Hongrois, avec près de cinq euros pour une pinte de bière.

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